La trousse à pharmacie idéale

Une entorse qui enfle, une piqûre d'araignée qui s'infecte ou encore une forte fièvre, rien de tel pour gâcher nos vacances !

Afin de ne pas être pris au dépourvu, prévoyez une trousse de secours complète qui soulagera vos premiers maux et vérifiez que tous vos vaccins sont bien à jour.

La trousse à pharmacie idéale

SOS premiers soins

Avant votre départ, consultez votre médecin généraliste qui vous aidera à constituer votre trousse de secours en fonction de votre destination. Mais vous pouvez d'ores et déjà emporter les médicaments suivants :

  • un antalgique comme le paracétamol afin de lutter contre les douleurs et la fièvre,
  • un antispasmodique pour les règles douloureuses,
  • un antiseptique comme le Chlorexydine pour désinfecter vos blessures ouvertes ainsi que toutes les piqûres d'insectes,
  • un anti-allergique pour calmer les démangeaisons,
  • un anti-inflammatoire pour apaiser les entorses.
  • des pansements et des bandes.

Prévoyez toute une batterie d'instruments indispensables tels que la pince à épiler, les ciseaux et l'aiguille qui vous débarrassera des échardes ou des épines d'oursin.

Enfin, faites le plein d'écran total et munissez-vous de plusieurs tubes de Biafine, le meilleur des remèdes pour les coups de soleil et les brûlures.

Vaccins en règle

Quelle que soit votre destination, vérifiez la date du dernier rappel du tétanos. Si vous vous envolez vers des pays exotiques, consultez impérativement votre médecin qui vous donnera la liste de tous les vaccins à effectuer. Pensez au traitement préventif anti-paludique à prendre une semaine avant votre départ et un mois après et rappelez-vous que le choléra et la typhoïde sont des maladies que l'on peut encore contracter.

Mieux vaut prévenir que guérir

Une fois sur place adoptez de nouvelles règles d'hygiène :

"pensez à ne pas boire l'eau du robinet et à ne pas consommer des légumes lavés à l'eau. Évitez de vous baigner dans des eaux stagnantes, portez des vêtements longs le soir et aspergez-vous de répulsif afin d'éloigner les insectes et surtout l'Anophèle, la mouche porteuse du paludisme" conclut Nicolas, interne au CHR de Lille.